Dans une benne, le déchet est un problème. Dans un meuble, il est une solution.
Au cours de son processus de production, l’industrie française rejette plus d'un tiers de la matière première qu’elle transforme pour répondre à notre besoin croissant de consommation
24 millions de tonnes de matériaux finissent ainsi chaque année dans les bennes des usines Françaises.
Dans de telles quantités, cette perte représente une ressource pouvant alimenter une multitude de productions. A l’heure où l’extraction excessive de matières premières fragilise les écosystèmes de notre planète, l’exploitation de ces « déchets » apparaît comme une nécessité.
Ces pertes de production industrielles sont chargées d’une valeur dépassant la matière, autour de laquelle s’articule toute notre démarche.
Les bennes des industriels ne sont pas pleines de lingots de métal, ou de granulés de plastique vierge. Jusqu'à leur mise au rebut, ces matériaux ont été travaillés et usinés, ils ont acquis une forme, une couleur et une technicité.
En somme, l’industrie a transformé la matière en objets. Produire à partir de ces déchets, c’est avant tout valoriser le travail déjà réalisé sur la matière. C'est faire du déchet un semi-produit, de son producteur un sous-traitant.
Issues de productions en séries, ces pertes ont une forme récurrente et sont générées quotidiennement. Ces attributs permettent d'intégrer ces déchets au départ d’une nouvelle production sérielle.
Dans une benne, le déchet est un problème. Dans un meuble, il est une solution.
Nos meubles vident les poubelles de nos partenaires, tout en préservant notre terre de l’extraction des ressources qui aurait été nécessaire à leur production.
Ils sauvegardent l’énergie dépensée par les industriels à donner une forme à la matière, tout en épargnant celle qu’il faut normalement mobiliser pour donner aux matériaux la forme d’une table, d’une chaise, d’une étagère.
Nos meubles font du déchet une ressource.
D’un problème ils font une opportunité.
Maximum est une usine vertueuse. Chaque produit qu’elle met au monde s’extrait des circuits de traitement des déchets. Chaque kilogramme vendu est en fait un kilogramme sauvé, laissant entrevoir l’idée décomplexante d’une consommation curative et bénéfique.
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